Saturday, August 29, 2009

Amo



Communications
Amour
ce corps à corps divin
cet âme à âme infini
Ces savants fous
Te connaîtront-ils
Dieu l’avouera-t-Il

Le DIT pour une rêverie
Amo.

( Rap__sodie pour une complainte à une voix, un récitant et un chœur )


Je t’aimerai
à te faire
crier ces mots
à innocenter Dieu.

Des mots qui ne sont rien
que de l’encre
que du vent

le néant est le mot
le vide est dans le mot
le chaos est dans les mots
Mais quand ton corps les dit
mais quand ton âme les dit
revoilà les Paradis
revoilà les Livres


Quand tu te dis
et que je sais
quand tu me lis
et que je nais
Sauras-tu, toi si pure
m’enfanter
Saurais-je, moi si sûr
t’enchanter

Je te chérirai
à te faire
chanter ces hymnes
à rappeler Dieu.

Des chants qui ne sont rien
que des notes
que du vent

le néant est le mot
le vide est dans le mot
le chaos est dans les mots
Mais quand ton corps les chante
mais quand ton âme les chante
revoilà les Paradis
revoilà les Livres


Quand tu te dis
et que je sais
quand tu me lis
et que je nais
Sauras-tu, toi si pure
m’enfanter
Saurais-je, moi si sûr
t’enchanter

Je te caresserai
à te faire
inventer ces bibles
à retrouver Dieu.

Des icônes qui ne sont rien
que des bois
que du vent

le néant est le mot
le vide est dans le mot
le chaos est dans les mots
Mais quand ton corps les peint
mais quand ton âme les peint
revoilà les Paradis
revoilà les Livres


Quand tu te dis
et que je sais
quand tu me lis
et que je nais
Sauras-tu, toi si pure
m’enfanter
Saurais-je, moi si sûr
t’enchanter

Je t’éblouirai
à te faire
oublier ces paradis
à égarer Dieu.

Des images qui ne sont rien
que des papiers
que du vent

le néant est le mot
le vide est dans le mot
le chaos est dans les mots
Mais quand ton corps les dessine
mais quand ton âme les dessine
revoilà les Paradis
revoilà les Livres


Quand tu te dis
et que je sais
quand tu me lis
et que je nais
Sauras-tu, toi si pure
m’enfanter
Saurais-je, moi si sûr>Je t’étreindrai
t’enchanter

Je t’enlacerai
à te faire
divaguer ces prières
à regarder Dieu.

Des chapelets qui ne sont rien
que des verres
que du vent

le néant est le mot
le vide est dans le mot
le chaos est dans les mots
Mais quand ton corps les raconte
mais quand ton âme les raconte
revoilà les Paradis
revoilà les Livres


Quand tu te dis
et que je sais
quand tu me lis
et que je nais
Sauras-tu, toi si pure
m’enfanter
Saurais-je, moi si sûr
t’enchanter

Michel GUIDETTI
...( copyright ) michel guidetti 07 septembre