Monday, October 30, 2006

Avalon et avalon

Le DIT des Jumeaux
Avalon et avalon
( Rap__sodie the World à deux chœurs, une voix et un récitant )



Ce fut le jour de l’annoncement
Pour l’un ou l’autre

Là est le chant, là-bas est la corde
Un chant si doux et deux mondes si tendres
Un bémol une frontière, une frontière des envahisseurs.

Ils sont nos vies mais ils sont nos envies.
Ce fut unité. Là était le boot épuré.

Avalon est avalon,
avalon est Avalon.


Là est le silence, là-bas est le sommeil
Un silence si profond et deux mondes si heureux
Une torpeur une frontière, une frontière des envahisseurs.

Ils sont nos envies mais ils sont nos rêveries.
Ce fut force. Là était le stack en limites.

Avalon est avalon,
avalon est Avalon.


Là est notre monde, là-bas est notre autre monde
Deux mondes si identiques et deux souffrances si unes
Un néant une frontière, une frontière des envahisseurs.

Ils sont nos rêveries mais ils sont nos réalités.
Ce fut communion. Là eut lieu le bootstrap.

Avalon est avalon,
avalon est Avalon.

Là est le cri, là-bas est la peur
Un cri si perçant et deux mondes si tétanisé
Un émoi une frontière, une frontière des envahisseurs.

Ils sont nos réalités mais ils sont nos ailleurs.
Ce fut amour. Là furent justifiées les allocations.
Avalon est avalon,
avalon est Avalon.


Là est la cible, là-bas est la proie
Une cible si mouvante et deux mondes si fugaces
Un point une frontière, une frontière des envahisseurs.

Ils sont nos ailleurs mais ils sont en nous.
Ce fut empathie. Là transitèrent les datas.

Avalon est avalon,
avalon est Avalon.


Ce fut le dernier jour
Pour l’un et l’autre

Là est l’axe, là-bas est la symétrie
Un axe si grand et deux mondes si distants
Une ligne une frontière, une frontière des envahisseurs.

Ils sont en nous mais ils sont nos ennemis.
Alors vint le craquement. Là serait le reset.

Avalon et avalon encore,
avalon et Avalon encore.

Là est le centre, là-bas est l’homothétie
Un centre si rien et deux réels si vrais
Un point une frontière, une frontière des envahisseurs.

Ils sont nos ennemis mais ils nous sont cachés.
Alors vint la fissure. Là serait la remise à zéro.

Avalon et avalon encore,
avalon et Avalon encore.

Là est le prisme, là-bas est l’arc-en-ciel
Un prisme si pur et deux fictions si belles
Une ligne une frontière, une frontière des envahisseurs.

Ils nous sont cachés mais ils nous hurlent.
Alors vint la déchirure. Là serait démis le borrow.

Avalon et avalon encore,
avalon et Avalon encore.

Là est le miroir, là-bas est l’image
Un miroir si profonds et deux mondes si noyés
Une plan une frontière, une frontière des envahisseurs.
Ils nous hurlent mais ils sont nos croyances.
Alors vint l’écartèlement. Là serait remis le carry.

Avalon et avalon encore,
avalon et Avalon encore.


Là est le disque, là-bas est l’inverse
Un disque si rond et deux mondes si flous
Un cercle une frontière, une frontière des envahisseurs.

Ils sont nos croyances mais ils sont nos mensonges.
Alors vint la béance. Là serait infligé le shift.

Avalon et avalon encore,
avalon et Avalon encore.

Puis vint le jour des maudits
Pour l’un l’autre
Là est l’onde, là-bas est le battement
Une onde si répétée et deux mondes si cohérents
Une énergie une frontière, des virus d’outre là envahisseurs.

Ils sont nos réalités mais ils sont nos hiers.
Ils dirent les visions. Là sera la régression.

Avalon était avalon,
avalon était Avalon.

Là est la perception, là-bas est la croyance
Une perception si tenace et deux mondes si frères
Un non sens une frontière, des virus d’outre là envahisseurs.

Ils sont nos hiers mais ils sont nos ennemis.
Ils dirent les voix. Là sera la collision.

Avalon était avalon,
avalon était Avalon.

Là est la vision, là-bas est la poésie
Une vision si large et deux mondes si proches
Un éclair une frontière, des virus d’outre là envahisseurs.

Ils sont nos ennemis mais ils sont mortels.
Ils dirent la schizophrénie. Là sera l’overflow.

Avalon était avalon,
avalon était Avalon.

Là est le décalage, là-bas est le mensonge
Un décalage si infime et deux mondes si absents
Une différence une frontière, des virus d’outre là envahisseurs.

Ils sont mortels mais ils sont nos infinis.
Ils dirent le viol. Là sera l’empoisonnement du silicium.

Avalon était avalon,
avalon était Avalon.


Là est la mort, là-bas est l’autre vivance
Une mort si forte et deux mondes si ailleurs
Une faux une frontière, des virus d’outre là envahisseurs.

Ils sont nos infinis mais ils sont nos barrières.
Ils dirent les chimères. Là sera la dé métallisation.
Avalon était avalon,
avalon était Avalon.


Puis fut le jour du réveil
Pour l’un dans l’autre
Là est l’idéal, là-bas est le rêve
Un idéal si vivant et deux mondes si rêvés
Un chant une frontière, des virus d’outre là envahisseurs.

Ils sont nos barrières mais ils sont outre passés.
Il y eu cancer. Là vint la pensée pure.

Ni Avalon, ni avalon,
Mais AVALON.


Là est le réel, là-bas est le vrai
Un réel si proche et deux mondes si pareils
Un écran une frontière, des virus d’outre là envahisseurs.

Ils sont outre passés mais ils sont nos peurs.
Ils y eu vivances. Là vint l’illogisme créateur.

Ni Avalon, ni avalon,
Mais AVALON.


Là est l’unité, là-bas est le multiple
Une unité si pure et deux mondes si doubles
Un unique une frontière, des virus d’outre là envahisseurs.

Ils sont nos peurs mais ils sont nos pas perdus.
Il y eu invasions. Là vint la folie redemptrice
.
Ni Avalon, ni avalon,
Mais AVALON.


Là est le pair, là-bas est l’impair
Un pair si deux et deux mondes si soudés
Un lien une frontière, des virus d’outre là envahisseurs.

Ils sont nos pas perdus mais ils sont nos trophées.
Il y eu assassinats. Là vinrent les infinis en humanisés.

Ni Avalon, ni avalon,
Mais AVALON.

Là est le un, là-bas est le deux
Une unité si victoire et un monde si fort
Une existence une frontière, des virus d’outre là envahisseurs.

Ils sont nos trophées mais ils ne sont plus rien.
Il y eu mort. Là vinrent les hommes pensées.

Ni Avalon, ni avalon,
Mais AVALON.


Regardez Avalon, Avalon est avalon
Regardez avalon, avalon est Avalon

Au début était le Monde
Ensuite vinrent le monde et le monde
Puis ce fut le décalage, la différence
Ils furent entre le monde et le monde
Ils furent par le monde et par le monde
Alors vint l’inceste, l’envahissement
Alors les chiens envahirent le décalage
Alors les chiens dirent le non soutenable
Alors les chiens crurent tout inonder
Aujourd’hui ils sont là pour taire l’innommable
Aujourd’hui ils sont là pour accomplir l’exécution.
Le trou noir guette, le trou noir les a défaits.
Ce bruit, ce tumulte, est résurrection,

Battements, martèlements des ondes,
cris et chuchotements,
mort et renaissances

Ce n’est plus virus et avalon,
Modulations, inflexions des sons
cris et chuchotements,
mort et renaissance
Ce n’est plus virus et Avalon,
Transformées, métamorphoses des réels,
cris et chuchotements,
mort et renaissance
Ce n’est plus Avalon et avalon,
Stéganomundi, éclipses des mondes
cris et chuchotements,
mort et renaissance
Ce n’est plus avalon et Avalon,
Stéréomundi, osmoses vénéneuses,
cris et chuchotements,
mort et renaissance
C’est l’indivisible AVALON.
Le trou noir est cognition, le trou noir nous a sauvé.
C’est résurrection et totalité,
C’est résurrection et pureté,
C’est résurrection et impénétrabilité,
C’est le tout COGNITION.

Michel GUIDETTI
…( copyright ) michel guidetti 27 octobre 2006

Cancer

CANCER
( Rap__sodie extra & terrestre à une voix et synthé )



Métagénomes outre terrestres
Rêves de cellules terrifiées
Astéroïdes post humains
Rêves de cyborgs archanges
Parvenus des en delà
Rêves d’amours androgynes
Métalloïdes biologiquesRêves résurgents
Vestiges des temps devenus
Macrocosmes
Bulles mortelles
Microcosmes
Chaos aveuglants

Venus d’ailleurs ils ont rêvé
Venus d’ailleurs ils ont annoncé
Contacts létaux


Michel GUIDETTI
... ( copyright ) michel guidetti 17 octobre 2006