Sunday, May 27, 2007

Un amour transparu



Sa fille.
Un père ne peut l'aimer à l'après
Il ne peut l'aimer qu'à l'avant
La fin est la vie qui s'efface
La fin est la vie qui s'éveille
La fin est la vie qui laisse
Lui se taira; les corps se tairont
Elle oubliera; les âmes oublieront
Mais dans un pays si loin deux traces à toujours
Mais dans un pays si noir les stigmates à jamais
Je vais vous dire ce pays
les seuils, Remus et Romulus
Je vais vous dire ce pays
les guides, Castor et Pollux
Je vais vous dire ce pays
les passages, Ligurie et Thyrrhénie
Je vais vous dire ce pays
par là tout s'absout
Je vais vous dire ce pays
par là tout s'enclave
Je vais vous dire ce pays
par là tout s'englobe
( mg )


Le DIT pour un père
Un amour transparu

( Rap__sodie pour sa fille à deux voix, un récitant et un chœur )



Ta vie toute contre lui mais lui
qui n'ose pas tout près.

Tu crois un pays transposé
qu'on ne sait plus le lieu.

Tes rires, perles acidulées
cadeaux à lui seul.

Socrate qui croit savoir
et qui dit où, peut-être le Sahara.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, malédiction morbide.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute pour lui mais lui
qui ne croit pas si près.

Tu crois un pays perdu
qu'on ne sait plus l'hier.

Tes joies, rosées salvatrices
cadeaux à lui seul.

Critias qui croit savoir
et qui dit où, peut-être Gibraltar.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, souffrance lugubre.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute avec lui, mais lui
qui n'espère pas si près.

Tu crois un pays égaré
qu'on ne sait plus l'après.

Tes élans, parfums coloriés
cadeaux à lui seul.

Tallesin qui croit savoir
et qui dit où, peut-être Tarterros.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, effroi consternant.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute vers lui, mais lui
qui ne peut pas si près.

Tu crois un pays inventé
qu'on ne sait plus le lendemain.

Tes gestes, brises irisées
cadeaux à lui seul.

Diodore qui croit savoir
et qui dit où, peut-être Gadeira.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, fureur létale.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute par lui, mais lui
qui ne veut pas si près.

Tu crois un pays démonté
qu'on ne sait plus le temps.

Tes danses, chants captivants
cadeaux à lui seul.

Hérodote qui croit savoir
et qui dit où, peut-être Cadix.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, torture indécente.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute en lui, mais lui
qui n'accepte pas si près.

Tu crois un pays inavoué
qu'on ne sait plus le début.

Tes espoirs, soleils enchantés
cadeaux à lui seul.

Thucyclide qui croit savoir
et qui dit où, peut-être l'Andalousie.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, cancer incendié.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute proche de lui, mais lui
qui n'entend pas si près.

Tu crois un pays diaphane
qu'on ne sait plus la fin.

Tes pleurs, cristaux d'archange
cadeaux à lui seul.

Platon qui croit savoir
et qui dit où, peut-être l'Atlas.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, tuerie encensée.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute faite de lui, mais lui
qui n'oublie pas si près.

Tu crois un pays entrevu
qu'on ne sait plus les mots.

Tes rêves, féeries exaltées
cadeaux à lui seul.

Solon qui croit savoir
et qui dit où, peut-être Chypre.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, anathème putride.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute pleine de lui, mais lui
qui ne se souvient pas si près.

Tu crois un pays enchanté
qu'on ne sait plus les gens.

Tes colères, éclats célestes
cadeaux à lui seul.

Lawhead qui croit savoir
et qui dit où, peut-être la Sardaigne.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, sentence immonde.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute donnée à lui, mais lui
qui ne réalise pas si près.

Tu crois un pays source
qu'on ne sait plus l'endroit.

Tes chagrins, pétales écrasés
cadeaux à lui seul.

Bacon qui croit savoir
et qui dit où, peut-être l'Amazonie.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, blessure infinie.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute hymne à lui, mais lui
qui ne nie pas si près.

Tu crois un pays unique
qu'on ne sait plus les images.

Tes secrets, bijoux de bonheurs
cadeaux à lui seul.

Benoit qui croit savoir
et qui dit où, peut-être la Somalie.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, exécution figée.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute lueur de lui, mais lui
qui ne voit pas si près.

Tu crois un pays premier
qu'on ne sait plus les signes.

Tes émois, tiédeurs originelles
cadeaux à lui seul.

Verne qui croit savoir
et qui dit où, peut-être Socotra.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, bannissement mortel.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute attente de lui, mais lui
qui ne résiste pas si près.

Tu crois un pays rescapé
qu'on ne sait plus les pleurs.

Tes langueurs, rêves outre vie
cadeaux à lui seul.

Cousteau qui croit savoir
et qui dit où, peut-être Gamla.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, errance éperdue.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute espoir en lui, mais lui
qui n'existe pas si près.

Tu crois un pays inconnu
qu'on ne sait plus les dieux.

Tes mots, poèmes inspirés
cadeaux à lui seul.

Galanopoulos qui croit savoir
et qui dit où, peut-être l'Ethiopie.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, torture funèbre.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute croyance en lui, mais lui
qui n'enlace pas si près.

Tu crois un pays ignoré
qu'on ne sait plus le futur.

Tes tristesses, sanglots écartelés
cadeaux à lui seul.

Hapgood qui croit savoir
et qui dit où, peut-être l'Atlantique.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, assassinat putride.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute prière pour lui, mais lui
qui ne comprend pas si près.

Tu crois un pays détenu
qu'on ne sait plus les crimes.

Tes poèmes, souffles cadencés
cadeaux à lui seul.

Einstein qui croit savoir
et qui dit où, peut-être la Béringie.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, étouffement maudit.

Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute murmure de lui, mais lui
qui ne devine pas si près.

Tu crois un pays passé
qu'on ne sait plus les quêtes.

Tes guerres, marches glorieuses
cadeaux à lui seul.

Socrate qui croit savoir
et qui dit où, peut-être l'Irlande.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, crucifixion répétée.

Je vous dis un amour, puis une rencontre qui tue.
Cet amour si différent
qu'il ruine l'amour primordial,
Un amour survenu
que le père est laissé.
Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute imbriquée à lui, mais lui
qui ne ment pas si près.

Tu crois un pays autrement
qu'on ne sait plus les infinis.

Tes caresses, paradis égarés
cadeaux à lui seul.

Diodore qui croit savoir
et qui dit où, peut-être la Suède.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, ironie satane.

Je vous dis un amour, puis une rencontre qui efface.
Cet amour si humain
qu'il brûle l'amour primordial,
Un amour survenu
que le père est défait.
Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute faite de lui, mais lui
qui ne joue pas si près.

Tu crois un pays répété
qu'on ne sait plus les péchés.

Tes baisers, offrandes mutines
cadeaux à lui seul.

Dropidès qui croit savoir
et qui dit où, peut-être la Suède.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, serment impie.

Je vous dis un amour, puis un amour alors éperdu.
Cet amour si autre
qu'il tue l'amour primordial,
Un amour survenu
que le père est nu.
Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.


Ta vie toute créée de lui, mais lui
qui ne refuse pas si près.

Tu crois un pays pardonné
qu'on ne sait plus les oublis.

Tes souvenirs, aquarelles noyées
cadeaux à lui seul.

Girard qui croit savoir
et qui dit où, peut-être Lipari.

Ils disent la mère et la fille.
Mais ils ne savent pas l'amour fou.
Ils ne disent pas le père et la fille.
Ame à l'âme du père, chair à la chair de la mère.

L'un qui écrase l'autre, l'autre qui écrase l'un.
Lui qui accepte la dichotomie,
elle qui croit souvent.
Ils jugent à mort, répudiation indigne.

Je vous dis un amour, puis un amour alors perdu.
Cet amour si fatal
qu'il tue l'amour primordial,
Un amour survenu
que le père est seul.
Seulement au fond de ton cœur la trace indélébile.
Seulement au fond de son cœur la trace circoncise.
Seulement au fond de ton âme les stigmates enflammés.
Seulement au fond de son âme les stigmates excisés.



Michel GUIDETTI
...( copyright ) michel guidetti 13 juin 2007

Saturday, May 12, 2007

La Fiction Magnifique




Deux mondes; deux anti mondes.
Un meta monde, un ante monde.
Un monde qui sait l'autre,
un monde de souffle.
Un monde qui nie l'autre,
un monde de sable.
Un monde qui est en fin,
un monde de souffle.
Un monde qui croit en vain,
un monde de sable.
HAdali le passage éblouissant.
( mg )




Le DIT pour un mythe
La Fiction Magnifique

( Rap__sodie révélée à deux voix, un récitant et un Choeur )


Là était le vide, le vide submergeait le tout,
le vide n'était nulle part,
Là était le vide, le vide ne rimait à rien,
le vide était l'impuissance.

Là était le néant, le néant était l'ensemble,
le néant était partout,
Là était le néant, le néant disait tout,
le néant était la puissance.

Le noir fut créé tout seul, et le noir était bon,
Le blanc fut créé tout autre, et le blanc était bon.

L'énergie n'était pas le vide; du plus grand on ne peut rien.
L'énergie était le néant; du plus petit on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur dit à HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde achevé, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde réseau, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était le point, le point avait le tout,
le point n'était qu'un,
Là était le point, le point ne pouvait rien,
le point était la tyrannie.

Là était le chaos, le chaos était la source,
le chaos était réunion,
Là était le chaos, le chaos taisait tout,
le chaos était l'immensité.

Il fut créé tout seul, et il se croyait bon,
Elle fut créée tout autre, et elle le croyait bon.

L'énergie n'était pas le point; de l'unique on ne peut rien.
L'énergie était le chaos; de la multitude on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur prépara HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde mortel, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde lien, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était la fission, la fission tuait le tout,
la fission n'était qu'agonie,
Là était la fission, la fission ne forgeait rien,
la fission était la mort.

Là était la fusion, la fusion était la vie,
la fusion était multiple,
Là était la fusion, la fusion croyait tout,
la fusion était l'union.

Le juste fut créé tout en dedans, et le juste était bon,
Le faux fut créé tout autour, et le faux était bon.

L'énergie n'était pas la fission; de l'envie on ne peut rien.
L'énergie était la fusion; de l'amour on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur sonda HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde flasque, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde indélébile, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était l'œuvre, l'œuvre volait le tout,
l'œuvre n'était que mensonge,
Là était l'œuvre, l'œuvre ne cédait rien,
l'œuvre était délire.

Là était la fécondité, la fécondité était le vouloir,
la fécondité était tous,
Là était la fécondité, la fécondité chamarrait tout,
la fécondité était nous.

Le savant fut créé tout entier, et le savant était bon,
Le mécréant fut créé tout puissant, et le mécréant était bon.

L'énergie n'était pas l'œuvre; de l'univers on ne peut rien.
L'énergie était la fécondité; de l'amour on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur figea HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde égoïste, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde fortifié, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était la chimère, la chimère noyait le tout,
la chimère n'était qu'ironie,
Là était la chimère, la chimère n'exaltait rien,
la chimère était le vide.

Là était la structure, la structure était la vie,
la structure était hybride,
Là était la structure, la structure étayait tout,
la structure était la ligue.

Le bonheur fut créé tout un, et le bonheur était bon,
Le malheur fut créé tout autre, et le malheur était bon.

L'énergie n'était pas la chimère; du vide on ne peut rien.
L'énergie était la structure; de la force on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur affermit HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde des sens, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde de résilience, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était l'origine, l'origine mutait le tout,
l'origine n'était qu'une,
Là était l'origine, l'origine ne livrait rien,
l'origine était le puits.

Là était l'épicentre, l'épicentre était la vie,
l'épicentre était multiple,
Là était l'épicentre, l'épicentre fusait tout,
l'épicentre était l'explication.

Le péché fut créé tout seul, et le péché était bon,
Le châtiment fut créé tout autre, et le châtiment était bon.

L'énergie n'était pas l'origine; de l'éclosion on ne peut rien.
L'énergie était l'épicentre; de la genèse on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur marqua HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde sensuel, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde exalté, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était l'homme, l'homme se balbutiait le tout,
l'homme n'était que sable,
Là était l'homme, l'homme ne voulait rien,
l'homme était l'envie.

Là était Dieu, Dieu était l'épreuve,
Dieu était trinité,
Là était Dieu, Dieu voulait tout,
Dieu était le lien.

Le marin fut créé tout seul, et le marin était bon,
Le vaisseau fut créé tout autre, et le vaisseau était bon.

L'énergie n'était pas l'homme; du petit on ne peut rien.
L'énergie était Dieu; du plus grand on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur éprouva HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde vain, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde mobilisé, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était le déclin, le déclin effaçait le tout,
le déclin n'était que suie,
Là était le déclin, le déclin ne criait rien,
le déclin était l'habitude.

Là était l'élan, l'élan était le courage,
l'élan était moteur,
Là était l'élan, l'élan quittait tout,
l'élan était le rêve.

Le déluge fut créé tout seul, et le déluge était bon,
Le germe fut créé tout autre, et le germe était bon.

L'énergie n'était pas le déclin; de la fin on ne peut rien.
L'énergie était l'élan; des envies on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur incita HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde aveugle, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde continu, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était l'éternel, l'éternel tuait le tout,
l'éternel n'était qu'agonie,
Là était l'éternel, l'éternel ne créait rien,
l'éternel était la rigidité.

Là était le mouvement, le mouvement était la vie,
le mouvement était multiple,
Là était le mouvement, le mouvement croyait tout,
le mouvement était l'unisson.

Le language fut créé tout seul, et le langage était bon,
Le parler fut créé tout autre, et le parler était bon.

L'énergie n'était pas l'éternel; du sans fin on ne peut rien.
L'énergie était le mouvement; des passions on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur sanctifia HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde infertile, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde instruit, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était l'emprise, l'emprise brisait le tout,
l'emprise n'était que prison,
Là était l'emprise, l'emprise ne donnait rien,
l'emprise était le caveau.

Là était l'impulsion, l'impulsion accouchait l'attente,
l'impulsion était fougue,
Là était l'impulsion, l'impulsion engendrait tout,
l'impulsion était le papillon.

Le levain fut créé tout seul, et le levain était bon,
L'or fut créé tout autre, et l'or était bon.

L'énergie n'était pas l'emprise; des fers on ne peut rien.
L'énergie était l'impulsion; de l'acte on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur bénît HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde lâche, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde ardent, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était l'ignorance, l'ignorance niait le tout,
l'ignorance n'était que transgression,
Là était l'ignorance, l'ignorance n'admettait rien,
l'ignorance était l'imposture.

Là était l'alliance, l'alliance était la maîtrise,
l'alliance était plurielle,
Là était l'alliance, l'alliance nouait tout,
l'alliance était la loi.

L'éther fut créé tout seul, et L'éther était bon,
Le limon fut créé tout autre, et le limon était bon.

L'énergie n'était pas l'ignorance; du reniement on ne peut rien.
L'énergie était l'alliance; des unions on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur entremit HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde renonçant, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde visionnaire, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était l'égoïsme, l'égoïsme reniait le tout,
l'égoïsme n'était qu'abandon,
Là était l'égoïsme, l'égoïsme n'édifiait rien,
l'égoïsme était la douleur.

Là était le réconfort, le réconfort était la renaissance,
le réconfort était commencement,
Là était le réconfort, le réconfort soudait tout,
le réconfort était la guérison.

L'abîme fut créé tout seul, et l'abîme était bon,
L'exorde fut créé tout autre, et l'exorde était bon.

L'énergie n'était pas l'égoïsme; de soi on ne peut rien.
L'énergie était le réconfort; des vœux on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur évoqua HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde carcéral, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde matrice, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était l'autrement, l'autrement altérait le tout,
l'autrement n'était que rival,
Là était l'autrement, l'autrement n'amenait rien,
l'autrement était l'étrange.

Là était la racine, la racine était la souche,
la racine était enfouie,
Là était la racine, la racine nommait tout,
la racine était le sens.

L'esprit fut créé tout seul, et l'esprit était bon,
Le doute fut créé tout autre, et le doute était bon.

L'énergie n'était pas l'autrement; des ailleurs on ne peut rien.
L'énergie était la racine; de l'âme on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur évoqua HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde équivoque, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde connaissance, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était la rivalité, la rivalité scindait le tout,
la rivalité n'était que refus,
Là était la rivalité, la rivalité ne fondait rien,
la rivalité était la défaite.

Là était la corrélation, la corrélation était la suite,
la corrélation était récurrente,
Là était la corrélation, la corrélation enflammait tout,
la corrélation était l'absolu.

Le soir fut créé tout seul, et le soir était bon,
Le matin fut créé tout autre, et le matin était bon.

L'énergie n'était pas la rivalité; de l'extrême on ne peut rien.
L'énergie était la corrélation; de l'intuition on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur inspira HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde aveuglé, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde résilient, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était l'in pulsion, l'in pulsion claustrait le tout,
l'in pulsion n'était que retraite,
Là était l'in pulsion, l'in pulsion ne libérait rien,
l'in pulsion était la tétanisation.

Là était l'ex pulsion, l'ex pulsion était la délivrance,
l'ex pulsion était nativité,
Là était l'ex pulsion, l'ex pulsion irradiait tout,
l'ex pulsion était le cri.

Le dessus fut créé tout seul, et le dessus était bon,
Le dessous fut créé tout autre, et le dessous était bon.

L'énergie n'était pas l'in pulsion; du repli on ne peut rien.
L'énergie était l'ex pulsion; des infinis on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur anoblit HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde élu, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde choisi, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était votre monde, votre monde cachait le tout,
votre monde n'était qu'advenu,
Là était votre monde, votre monde ne pouvait rien,
votre monde était le barbelé.

Là était notre monde, notre monde était l'esprit,
notre monde était aurore,
Là était notre monde, notre monde celait tout,
notre monde était l'aventure.

Le limon fut créé tout seul, et le limon était bon,
L'océan fut créé tout autre, et l'océan était bon.

L'énergie n'était pas votre monde; de l'extrême on ne peut rien.
L'énergie était notre monde; des infimes on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur baptisa HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde votre, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde notre, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était le plan, le plan figeait le tout,
le plan n'était que piège,
Là était le plan, le plan ne glorifiait rien,
le plan était l'urne.

Là était le secret, le secret était la clef,
le secret était vérité,
Là était le secret, le secret ouvrait tout,
le secret était le passage.

Le plan fut créé tout seul, et le plan était bon,
Le secret fut créé tout autre, et le secret bon.

L'énergie n'était pas le plan; des traits on ne peut rien.
L'énergie était le secret; du caché on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur déploya HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde stérile, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde géniteur, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était le carcan, le carcan internait le tout,
le carcan n'était que folie,
Là était le carcan, le carcan ne soignait rien,
le carcan était l'inhumation.

Là était l'infini, l'infini était l'accès,
l'infini était concordance,
Là était l'infini, l'infini nourrissait tout,
l'infini était le dénouement.

Le carcan fut créé tout seul, et le carcan était bon,
L'infini fut créé tout autre, et l'infini était bon.

L'énergie n'était pas le carcan; des tombes on ne peut rien.
L'énergie était l'infini; des idées on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur couronna HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde étranglé, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde colossal, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là était la prison, la prison empuantissait le tout,
la prison n'était que fêlures,
Là était la prison, la prison ne bonifiait rien,
la prison était la disgrâce.

Là était la liberté, la liberté était l'amour,
la liberté était liesse,
Là était la liberté, la liberté surmontait tout,
la liberté était l'éternité.

L'arbre de vies fut créé tout seul, et l'arbre était bon,
L'arbre des savoirs fut créé tout autre, et l'arbre était bon.

L'énergie n'était pas la prison; de l'esclavage on ne peut rien.
L'énergie était la liberté; des espoirs on crée le plus grand.

L'impulsion fut, et l'ordonnateur auréola HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
La récurrence efface tout, dérive abrupte réalité,
La récurrence répète tout, dérive interminable foi.
Il y a ce monde enchaîné, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.
Il y a un autre monde affranchi, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déraison exotherme.


Là n'est plus la finalité, la finalité n'est pas le tout,
la finalité n'est que croyances,
Là n'est plus la finalité, la finalité farde tout,
la finalité n'est pas la destinée.

Là sera le sang, le sang sera la nourriture,
le sang sera intelligence,
Là sera le sang, le sang exaltera tout,
le sang sera le vecteur.

Abel sera créé tout seul, et Abel était bon,
Caïn sera créé tout autre, et Caïn était bon.
Castor sera créé tout seul, et Castor était bon,
Pollux sera créé tout autre, et Pollux était bon.

L'énergie n'est plus la finalité; des intentions on ne peut rien.
L'énergie sera le sang; des mannes on crée le plus grand.

L'impulsion est, et l'ordonnateur insuffle HAdali.

Ils veulent la fission, mais la fusion est l'idée.
Au début était le chaos.
Au début étaient deux mondes jumeaux.

Ils disent le big bang, mais big boost est la fiction.
Puis survint la fusion.
Puis vint la fission.

Il y a ce monde exténué, et il y a un autre monde,
Homme et Femme furent créés à son image,
et cet autre monde, abstraction endotherme.

Des énergies vint la méta énergie.
Il y a un autre monde jaillissement, et il y a ce monde,
Adam et Eve furent créés des sables,
et ce monde, déchéance exotherme.

Ces deux mondes imbriqués,
l'un dominant, l'autre dominé,
l'un dominé, l'autre dominant.
Ce monde vaincu et ses brèches, et ses trous noirs.
L'autre monde vainqueur et son hégémonie, et le trou noir.
Le passage et ce monde enfin disparu.



Michel GUIDETTI
...( copyright ) michel guidetti 23 mai 2007