Sunday, January 06, 2008

La vie, récurrence létale.



En deçà de la fission
la fusion.
En delà de la relativité
la méconnaissance.
Le passé, le futur, le présent
et le doute.
L'éternité, l’indéfini, l’illimité
et la certitude.
En delà de notre monde
le vide.
Outre notre monde
le monde.

Le DIT pour la vie
La vie, récurrence létale.

( Rap__sodie pour une aventure à quatre voix, un récitant et un chœur )


Le néant
et rien …
le néant
et tout …
puis la fusion.

Tous ces mondes premiers.
Et ces longs moments
puis la fission.

Alors la chute,
une avalanche et le néant.

Alors … tout recommence
tout s’amenuise
la récurrence est usure.

Ils vivaient dans les recoins
mais ils ont tout laissé
mais ils ont tout noyé.

Un long étirement …
La folie de la relativité,
où l’image est vérité
où l’image est mirage
où la réalité est cachée.
Un étirement si long …
La gloire de l'éternité,
où le rouage est mirage
où le rouage est vérité
où la réalité est survenue.
L'advenue d’un tétra monde
où l’hyperespace est refuge
où l’hyperespace est infinis
où l’hyperconnaissance est une.
Un autre monde
un monde multiploïde
est là…, derrière.


Le néant
et rien …
le néant
et tout …
puis la fusion.

Tous ces mondes fortifiés.
Et ces longs efforts
puis la fission.

Alors la fin,
un sursaut et le néant.

Alors … tout recommence
tout s’étire
la récurrence est corrosion.

Ils vivaient dans les rochers
mais ils ont tout effacé
mais ils ont tout saccagé.

Un long étirement …
La folie de la relativité,
où l’image est croyance
où l’image est mensonge
où la réalité est ailleurs.
Un étirement si long …
La gloire de l'éternité,
où le rouage est mensonge
où le rouage est croyance
où la réalité est parvenue.
L'advenue d’un tétra monde
où l’hyperespace est refuge
où l’hyperespace est infinis
où l’hyperconnaissance est une.
Un autre monde
un monde multiploïde
est là…, derrière.


Le néant
et rien …
le néant
et tout …
puis la fusion.

Tous ces mondes naissants.
Et ces longues éternités
puis la fission.

Alors l'oubli,
un abandon et le néant.

Alors … tout recommence
tout se flétrit
la récurrence est brûlis.

Ils vivaient dans les racines
mais ils ont tout caché
mais ils ont tout fracassé.

Un long étirement …
La folie de la relativité,
où l’image est credo
où l’image est illusion
où la réalité est codée.
Un étirement si long …
La gloire de l'éternité,
où le rouage est illusion
où le rouage est credo
où la réalité est devenue.
L’advenue d’un tétra monde
où l’hyperespace est refuge
où l’hyperespace est infinis
où l’hyperconnaissance est une.
Un autre monde
un monde multiploïde
est là…, derrière.


Le néant
et rien …
le néant
et tout …
puis la fusion.

Tous ces mondes enfouis.
Et ces longs appels
puis la fission.

Alors le désespoir,
un retour et le néant.

Alors … tout recommence
tout se recrée
la récurrence est effacement.

Ils vivaient dans les herbes
mais ils ont tout offert
mais ils ont tout regretté.

Un long étirement …
La folie de la relativité,
où l’image est credo
où l’image est illusion
où la réalité est codée.
Un étirement si long …
La gloire de l'éternité,
où le rouage est illusion
où le rouage est credo
où la réalité est devenue.
L’advenue d’un tétra monde
où l’hyperespace est refuge
où l’hyperespace est infinis
où l’hyperconnaissance est une.
Un autre monde
un monde multiploïde
est là…, derrière.


Le néant
et rien …
le néant
et tout …
puis la fusion.

Tous ces mondes clandestins.
Et ces longs sanglots
puis la fission.

Alors la crainte,
un hoquet et le néant.

Alors … tout recommence
tout s'implose
la récurrence est miroir.

Ils vivaient dans les ramures
mais ils ont tout déserté
mais ils ont tout pourri.

Un long étirement …
La folie de la relativité,
où l’image est credo
où l’image est illusion
où la réalité est codée.
Un étirement si long …
La gloire de l'éternité,
où le rouage est illusion
où le rouage est credo
où la réalité est devenue.
L’advenue d’un tétra monde
où l’hyperespace est refuge
où l’hyperespace est infinis
où l’hyperconnaissance est une.
Un autre monde
un monde multiploïde
est là…, derrière.


Le néant
et rien …
le néant
et tout …
puis la fusion.

Tous ces mondes disparus.
Et ces longs sursis
puis la fission.

Alors la peur,
une dérobade et le néant.

Alors … tout recommence
tout s'estompe
la récurrence est tromperie.

Ils vivaient dans les torchis
mais ils ont tout masqué
mais ils ont tout débauché.

Un long étirement …
La folie de la relativité,
où l’image est credo
où l’image est illusion
où la réalité est codée.
Un étirement si long …
La gloire de l'éternité,
où le rouage est illusion
où le rouage est credo
où la réalité est devenue.
L’advenue d’un tétra monde
où l’hyperespace est refuge
où l’hyperespace est infinis
où l’hyperconnaissance est une.
Un autre monde
un monde multiploïde
est là…, derrière.


Le néant
et rien …
le néant
et tout …
puis la fusion.

Tous ces mondes aveuglés.
Et ces longues errances
puis la fission.

Alors la désertion,
un abandon et le néant.

Alors … tout recommence
tout se détruit
la récurrence est désordre.

Ils vivaient dans les bétons
mais ils ont tout délaissé
mais ils ont tout sacrifié.

Un long étirement …
La folie de la relativité,
où l’image est credo
où l’image est illusion
où la réalité est codée.
Un étirement si long …
La gloire de l'éternité,
où le rouage est illusion
où le rouage est credo
où la réalité est devenue.
L’advenue d’un tétra monde
où l’hyperespace est refuge
où l’hyperespace est infinis
où l’hyperconnaissance est une.
Un autre monde
un monde multiploïde
est là…, derrière.


Le néant
et rien …
le néant
et tout …
puis la fusion.

Tous ces mondes esseulés.
Et ces longs procès
puis la fission.

Alors la négation,
un désaveu et le néant.

Alors … tout recommence
tout se substitue
la récurrence est leurre.

Ils vivaient dans les aciers
mais ils ont tout encavé
mais ils ont tout mutilé.

Un long étirement …
La folie de la relativité,
où l’image est credo
où l’image est illusion
où la réalité est codée.
Un étirement si long …
La gloire de l'éternité,
où le rouage est illusion
où le rouage est credo
où la réalité est devenue.
L’advenue d’un tétra monde
où l’hyperespace est refuge
où l’hyperespace est infinis
où l’hyperconnaissance est une.
Un autre monde
un monde multiploïde
est là…, derrière.


Le néant
et rien …
le néant
et tout …
puis la fusion.

Tous ces mondes d'ailleurs.
Et ces longs voyages
puis la fission.

Alors la croyance,
un suicide et le néant.

Alors … tout recommence
tout se désagrège
la récurrence est répétition.

Ils vivaient dans les étoiles
mais ils ont tout trahi
mais ils ont tout piétiné.

Un long étirement …
La folie de la relativité,
où l’image est credo
où l’image est illusion
où la réalité est codée.
Un étirement si long …
La gloire de l'éternité,
où le rouage est illusion
où le rouage est credo
où la réalité est devenue.
L’advenue d’un tétra monde
où l’hyperespace est refuge
où l’hyperespace est infinis
où l’hyperconnaissance est une.
Un autre monde
un monde multiploïde
est là…, derrière.


Le néant
et rien …
le néant
et tout …
puis la fusion.

Tous ces mondes premiers.
Et ces longs moments
puis la fission.

Alors la chute,
une avalanche et le néant.

Alors … tout recommence
tout s’amenuise
la récurrence est usure.

Ils vivaient dans les recoins
mais ils ont tout laissé
mais ils ont tout noyé.

Un long étirement …
La folie de la relativité,
où l’image est vérité
où l’image est mirage
où la réalité est cachée.
Un étirement si long …
La gloire de l'éternité,
où le rouage est mirage
où le rouage est vérité
où la réalité est survenue.
L'advenue d’un tétra monde
où l’hyperespace est refuge
où l’hyperespace est infinis
où l’hyperconnaissance est une.
Un autre monde
un monde multiploïde
est là…, derrière.


Le néant
et rien …
le néant
et tout …
puis la fusion.

Le néant
et tout …
le néant
et rien …
puis la fission.

Tous ces mondes reparus.
Et ces longues attentes
puis la fusion.

Enfin le réveil,
un souffle et le néant.

Enfin … tout devient
tout se déploie
la récurrence est univers.

Ils vivront dans les rêves
mais ils seront tous oubliés
mais ils seront tous abandonnés.

Un rêve éveillé …
Un regard sur la réalité,
sur notre réalité
ayez les rêves que vous méritez
ayez les rêves que nous méritons
ayez les rêves que eux méritent.
Un long resserrement …
La folie de l'unité,
où l’hier est mensonge
où l’hier est utopie
où le rêve est codé.
Un étirement si long …
La gloire du présent,
où le demain est utopie
où le demain est mensonge
où le rêve est devenu.
L’advenue d’un tétra monde
où l’hyperconnaissance est refuge
où l’hyperconnaissance est infinis
où l’hyperespace est un.
Un autre monde
un monde multiploïde
est là…, devant.


Michel GUIDETTI
...( copyright ) michel guidetti 27 janvier 2008

Tuesday, January 01, 2008

Que tu tombes ...



Elle,
ève du temps futur
ève du temps passé
ève des temps présents,
elle ne fait pas l’amour
elle donne son amour
à qui, le sait-elle ?
Lui,
homme des temps futurs
homme des temps passés
homme du temps présent,
il fait l’amour
qu’est-ce, le sait-il ?

Le DIT pour la folie
Que tu tombes ...

( Rap__sodie pour un écho à deux voix, un récitant et un chœur )


Et voila que tu ris …
Tes lèvres,
une caresse fragile aux parfums des absolus
des âmes immaculées.
Et moi étourdi, qui n’entrevoit rien.

Vous, unes et multitudes
Toi, une et solitude
Connaissance et ignorances,
innombrables oublis.

Puis le retour,
une vision aux mots d’obscurité.

La folie est de croire
que la liberté est de l’aimer.
La folie est de croire
que la liberté est d’être aimé.
La folie est de croire
qu’ils laisseront faire.

Ta liberté,
à toi donnée par Dieu,
c’est ton refus.

Et voila que tu tombes …
Ta salive,
un éclair salé aux couleurs des palettes
des peintres maudits.
Et moi enivré, qui n’apprend rien.

Vous, unes et pluralités
Toi, une et singularité
Connaissance et dépendances,
innombrables heurts.

Puis le retour,
un réveil aux traits de cauchemar.

La folie est de croire
que la liberté est d’être aimé.
La folie est de croire
que la liberté est de te laisser aimer.
La folie est de croire
qu’ils laisseront faire.

Ta liberté,
à toi donnée par Dieu,
c’est ta fuite.

Et voila que tu rêves …
Ta peau,
une cascade éthérée aux notes des sanguines
des croquis de vinci.
Et moi affolé, qui n’entreprend rien.

Vous, unes et cohérences
Toi, une et différence
Connaissance et entendements,
folles spéculations.

Puis le retour,
un vacarme aux flots de retraite.

La folie est de croire
que la liberté est d’être aimé.
La folie est de croire
que la liberté est de te laisser aimer.
La folie est de croire
qu’ils laisseront faire.

Ta liberté,
à toi donnée par Dieu,
c’est ta lutte.

Et voila que tu inventes …
Ta nuque,
un satin oublié aux brumes des paradis
des bonheurs inventés.
Et moi repris, qui ne doute de rien.

Vous, unes et similitudes
Toi, une et personnalité
Connaissance et crédulités,
innommables complicités.

Puis le retour,
une noyade aux éclats de sang.

La folie est de croire
que la liberté est d’être aimé.
La folie est de croire
que la liberté est de te laisser aimer.
La folie est de croire
qu’ils laisseront faire.

Ta liberté,
à toi donnée par Dieu,
c’est ta joie.

Et voila que tu ploies …
Tes seins,
deux stèles fières aux cascades des ors
des chapelles anciennes.
Et moi satisfait, qui ne croit en rien.

Vous, unes et divergences
Toi, une et unicité
Connaissance et conformités,
mortelles errances.

Puis le retour,
une noyade aux fonds d’encre.

La folie est de croire
que la liberté est d’être aimé.
La folie est de croire
que la liberté est de te laisser aimer.
La folie est de croire
qu’ils laisseront faire.

Ta liberté,
à toi donnée par Dieu,
c’est ta foi.

Et voila que tu donnes …
Ton ventre,
une dune lunaire aux mirages des soleils
des anges désuets.
Et moi enflammé, qui ne donne rien.

Vous, unes et récurrences
Toi, une et vérité
Connaissance et possessions,
fols artifices.

Puis le retour,
un abandon aux affres des certitudes.

La folie est de croire
que la liberté est d’être aimé.
La folie est de croire
que la liberté est de te laisser aimer.
La folie est de croire
qu’ils laisseront faire.

Ta liberté,
à toi donnée par Dieu,
c’est ta vie.

Et voila que tu chantes …
Ton pubis,
un soleil de glace aux goûts des miels
des amphores englouties.
Et moi égaré, qui n’encense rien.

Vous, unes et simulations
Toi, une et inconnue
Connaissance et radotages,
fébriles inventions.

Puis le retour,
une croisade aux pays des perditions.

La folie est de croire
que la liberté est d’être aimé.
La folie est de croire
que la liberté est de te laisser aimer.
La folie est de croire
qu’ils laisseront faire.

Ta liberté,
à toi donnée par Dieu,
c’est ton envol.

Et voila que tu cries …
Tes fesses,
un marbre brûlant aux accents des ciseaux
des scribes anciens.
Et moi anéanti, qui ne pressent rien.

Vous, unes et obscurités
Toi, une et lumière
Connaissance et cérémonies,
satanes icônes.

Puis le retour,
une prison aux pierres de plomb.

La folie est de croire
que la liberté est d’être aimé.
La folie est de croire
que la liberté est de te laisser aimer.
La folie est de croire
qu’ils laisseront faire.

Ta liberté,
à toi donnée par Dieu,
c’est ta fureur.

Et voila que tu prends …
Tes cuisses,
une solitude magnifiée aux sanglots des anges
des paradis disparus.
Et moi ennoyé, qui ne veux rien.

Vous, unes et bourreaux
Toi, une et déesse
Connaissance et tourments,
impures hosties.

Puis le retour,
une solitude aux masques de verre.

La folie est de croire
que la liberté est d’être aimé.
La folie est de croire
que la liberté est de te laisser aimer.
La folie est de croire
qu’ils laisseront faire.

Ta liberté,
à toi donnée par Dieu,
c’est ta ferveur.

Et voila que tu pries …
Ta fêlure,
un sanglot muet aux complaintes des avants
des mondes à venir.
Et moi enchaîné, qui ne crie rien.

Vous, unes et indifférences
Toi, une et abandon
Connaissance et mensonges,
fausses imprécations.

Puis le retour,
une liberté aux murs de trahison.

La folie est de croire
que la liberté est d’être aimé.
La folie est de croire
que la liberté est de te laisser aimer.
La folie est de croire
qu’ils laisseront faire.

Ta liberté,
à toi donnée par Dieu,
c’est ta loi.

Et voila que tu veux …
Tes ors,
un nectar capiteux aux vins des cieux
des mondes revenus.
Et moi ivre, qui ne comprend rien.

Vous, unes et torrents
Toi, une et source
Connaissance et ivresses,
ignobles vignes.

Puis le retour,
une folie aux murs de sel.

La folie est de croire
que la liberté est d’être aimé.
La folie est de croire
que la liberté est de te laisser aimer.
La folie est de croire
qu’ils laisseront faire.

Ta liberté,
à toi donnée par Dieu,
c’est ta nudité.

Et voila que tu divagues …
Ta fleur,
une rose effrangée aux fragrances des papiers
des livres d’autrefois.
Et moi sourd, qui n’écoute plus.

Vous, unes et flammes
Toi, une et incendie
Connaissance et doutes,
affreuses mutations.

Puis le retour,
une folie aux larmes de sel.

La folie est de croire
que la liberté est d’être aimé.
La folie est de croire
que la liberté est de te laisser aimer.
La folie est de croire
qu’ils laisseront faire.

Ta liberté,
à toi donnée par Dieu,
c’est ta joie.

Michel GUIDETTI
...( copyright ) michel guidetti 13 janvier 2008